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20 mars 2011

[Les Rimbeaudelaires d'ALAMO.]

Tu n'avais, je me souviens, qu'une obsession. Combler le vide. Toujours, le combler. Le bourrer d'un tas de choses, auxquelles tu attribuais une importance qu'elles ne méritaient pas. S'occuper, fermer les yeux pour ne pas voir que c'était impossible....
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14 novembre 2010

Parfois.

Les choses changent. Les gens grandissent. Le monde danse. La musique irrite les étoiles. Les nuages se bousculent. Les arbres meurent. Une enfant pleure. Un vieillard sourit. Pour la dernière fois ?
30 octobre 2009

Un jour de plus.

Quelque chose s’en va. Je le sens. Ca s’évapore avec le temps, et les peines se bousculent. Oh, quand tout disparaît, que reste-t-il ? A mes pieds, à mes pieds, il y a ce vide. Qui me sourit, me nargue, m’appâte. Je ne sais plus, n’ai jamais su, il me...
23 août 2009

Les Grandes Marées.

Les Grandes Marées.
Les vagues frappent furieusement les rochers, elles envahissent tout autour d'elles dans un grondement de violence folle. Quelques gouttes s'en prennent aux nuages. Rares. Celles-ci escaladent la pierre pour s'élever, légères, en virevoltant dans le ciel...
21 mai 2009

Au Fil de ma vie.

Au Fil de ma vie.
Les jours ont passé. Les mois. Les années. Ils avancent toujours avec une lenteur calculée. Surtout quand on ne le veut pas. Et je ne le voulais pas. Je travaillai dur, finis par grignoter les échelons, m’enrichis. On peut le dire ; je réussis ma vie....
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19 avril 2009

J'écrivais.

J'écrivais.
Parce que la recherche du beauN'excelle que dans la plus parfaite laideurQue cette quête insenséeFrise le ridicule, mord l'obsessionJe me suis depuis longtemps convaincueQue notre seul charme mouraitDans nos soupirs. Et voilà, inutile de fouiller encoreDans...
1 mars 2009

La Fin.

La Fin.
Nous l'écoutons, ce silence laissé, qu'on n'a pas envie d'éloigner à renfort de paroles. D'oppressant, il devient réconfortant. parce que ce n'est pas notre silence, juste le sien, la seul chose qui nous reste de son absence. Nous restons là, assis bêtement,...
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  • Tu écris et là, juste là, tu te sens en vie. Le souffle, le souffle murmure et les mots se reposent là, ils déchirent, ils tanguent, ils brûlent de passion, de vie ! Ils brûlent d'une vie blanche et profonde. Voyez.
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